Notre histoire

  MAISON DEGAS

Bienvenue à la Maison Degas

Centralité de l'emplacement, attention portée à l'hôte, évocation des atmosphères particulières du centre ancien entre sédiments et traces d'époques passées.

Il était une fois, il y a longtemps...

Des couvents austères, des églises embellies par la créativité baroque, le fracas des sabots de destriers, des carrosses étincelants lors des fêtes dans les palais princiers en pierre et puis… une effervescence d’activités artisanales artistiques : verre, cuivre, céramiques, santons, mandolines et instruments de musique, coutures : les artisans de Naples, capitale. Aujourd’hui, au numéro 53 de Calata Trinità Maggiore, sur la piazza del Gesù Nuovo, vous pourrez découvrir, entre la pierre ciselée du Palais Pignatelli di Monteleone du XVIe siècle et le léger brouhaha de la rue, notre petit hôtel accueillant.

La Maison Degas, sur la piazza del Gesù Nuovo, est le point de départ idéal pour un séjour culturel et émotionnel. De là, vous partez à la découverte de ce que… 3000 ans et plus d’histoire parlent à travers la pierre modelée par de précieuses architectures, la vivacité et la curiosité des habitants et des visiteurs du monde entier, l’alternance de petites ruelles qui s’ouvrent sur des espaces choisis pour des rencontres fortuites ou non : tout cela exerce un charme particulier qui captivera nos hôtes entre le murmure des places et les approfondissements historique-artistiques.

L’accueil à la Maison Degas… une rencontre, un échange de sensibilités, une occasion de se connaître autour d’un bon café, d’une musique douce et agréable, et d’une dégustation de spécialités pâtissières. Ceux qui nous choisissent sont avant tout des hôtes qui méritent de l’attention.

Notre hôtel est situé dans un emplacement stratégique.

Sur la piazza del Gesù Nuovo, au début de Spaccanapoli et des Decumani. D’ici… l’accès au CENTRE HISTORIQUE, PATRIMOINE MONDIAL DE L’UNESCO. Entre l’austère gothique, la sérénité et la richesse du cloître en majolique à l’intérieur du Complesso Monumentale di S. Chiara la festivité du baroque, sous le regard charitable et rassurant de la statue de l’Immaculée, surplombant l’obélisque, qui accueille les nombreux pèlerins affluant sans cesse à l’Église du Gesù Nuovo, vous pourrez séjourner dans notre petit hôtel situé à l’intérieur du Palais Pignatelli di Monteleone du XVIe siècle, aujourd’hui monument national. Une inscription placée sur le côté droit du portail, offerte et installée en 1996 par l’Institut Français de Grenoble, rappelle qu’ici, au 19ème siècle, a résidé la famille d’HILAIRE GERMAN EDGAR DEGAS (1834-1917) et que le grand peintre et sculpteur impressionniste français a lui-même vécu et travaillé ici.

Le centre historique de Naples a été inscrit sur la liste du PATRIMOINE MONDIAL DE L’UNESCO en 1995, avec la motivation suivante : Naples est l’une des plus anciennes villes d’Europe, dont le tissu urbain contemporain préserve les éléments de sa longue et importante histoire.

La centralité de l’emplacement révélera aux hôtes de l’hôtel les traditions, les événements culturels et congressuels, les trésors historiques et artistiques de la Naples d’autrefois, ainsi que les rues du shopping.

Pour ceux qui voyagent pour le plaisir, la culture, la détente, pour ceux qui séjournent pour affaires et souhaitent un environnement calme en plein centre ancien, dans un emplacement stratégique pour optimiser chaque besoin de déplacement.

Dans la ville de Naples, entre pizzas mémorables et monuments historiques : de Spaccanapoli à la Piazza del Plebiscito, en passant par les quartiers de Chiaia et le célèbre monastère de Santa Chiara. La voilà encore, Spaccanapoli, droite comme tirée au cordeau après des siècles et des siècles, la rue la plus célèbre de la ville de Naples, cœur animé et voie des marchandises.

Corriere della Sera, 05 septembre 2013

À Naples, comme à la maison... un accueil chaleureux de la part d'un personnel attentif

Nous souhaitons faire ressentir à l’hôte la chaleureuse atmosphère de la maison, en suggérant les événements récréatifs et culturels que la ville a à offrir (événements, congrès, expositions, concerts, spectacles, etc.), en portant une attention particulière à la significative tradition artisanale artistique de Naples, capitale du royaume, ainsi qu’à la contemporanéité artistique et aux spécificités des produits de l’eno-gastronomie napolitaine et campanienne. Et puis… le matin, une rencontre, une atmosphère conviviale, ‘une conversation’ pour découvrir la tradition de la pâtisserie napolitaine avec des dégustations de délicieuses spécialités… le tout agrémenté d’un doux fond musical, avec des virtuoses instrumentaux du répertoire de musique classique et jazz.

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piazza del Gesù - Maison Degas di giorno

Notre établissement

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Degas danseuses

Tiré de “Degas – Danseuses”, Arnoldo Mondadori Editore, Collection “La Tavolozza”, 1956 […] Le mouvement, voilà le thème préféré de cet homme sédentaire qui affirme que pour travailler avec profit, il faut “s’asseoir à la table”. Prisonnier d’un laboratoire où il recrée la réalité, celui qui, selon Valéry, “ne voyait rien en rose” exprime avec souffrance l’instant délicieux et fugace, transforme la toile muette en champ d’action, en fait le lieu de la durée et de la profondeur. Chaque peintre a en lui quelque chose du prestidigitateur. Ce qui est merveilleux chez Degas, c’est qu’il ne travaille jamais dans l’espoir d’obtenir le succès, mais pour la joie, entièrement intérieure, de surmonter les difficultés. Sa main rivalise en habileté avec celle des jockeys, des modistes et des trapézistes. Lui aussi, comme eux, maintient l’harmonique synchronisme entre l’œil et la main par le biais d’exercices, de répétitions, d’entraînement, avec la sévérité envers soi-même indispensable aux sportifs, aux prestidigitateurs, aux acrobates, aux danseuses et aux acteurs qui veulent rester en “forme”. […] Introduit par ses fidèles amis, le musicien Dihaut et Ludovic Halévy, dans l’environnement de l’Opéra, Degas, à partir de 1872 – date de l’un des premiers Ridotto de la danse, celui de la collection Camondo – et surtout durant la période 1874 – 1880, se consacrera inlassablement à l’étude de Le petit être neuf à la mine hardie De qui le bras plié dans la ligne choisie Équilibre, balance et son vol et son poids.

Les classes de danse, tous les exercices préparatoires, les répétitions dans le ridotto ou sur scène, la vie des loges, des coulisses, les gestes triviaux au même titre que les gestes professionnels – se gratter le dos, bailler de fatigue, ramasser une chaussure, lacer une chaussette – excitent sa curiosité tout autant que la représentation vue de la salle et l’atmosphère d’irréalité qui se crée sur la scène, grâce à la complicité des costumes, des décors, des projecteurs et des ballets. Combien de matins, combien d’après-midis passés rue Le Pelletier ou au ridotto de l’Opéra, à observer la « classe des petites » s’entraîner à la barre, aux ordres du vieux maître de ballet en blouse. Des centaines de dessins, d’estampes, de toiles, de pastels, de monotypes témoignent de la passion avec laquelle Degas étudiait ces scènes de danse qu’il faisait ensuite revivre une à une sur la toile, transformant les impressions fugaces en spectacles durables de grâce. […] Du pastel, qui est à la fois un signe graphique et une couleur, moyen expressif plus rapide, vigoureux et vivant que l’huile, Degas a tiré les effets les plus inhabituels. On dirait que personne avant lui n’a su exploiter aussi habilement les « tons morts » pour exalter, grâce au contraste, les tons chauds et faire des figures isolées (comme la Stella de la collection Camondo) ou en groupe (les Trois, les Quatre ballerines), captées en action ou au repos, les plus splendides bouquets de fleurs. Degas a désormais atteint la pleine maturité artistique et, dans son œuvre, technique et contenu se rejoignent en parfait équilibre. Ces rapports exquis de couleur qui s’accordent admirablement à l’harmonie linéaire, font que le spectateur oublie presque le sujet du tableau pour se laisser emporter par les délices d’une orchestration savante dans laquelle tous les artifices du métier concourent à recréer une réalité merveilleuse.

Degas à Naples
ses voyages à Naples pendant sa jeunesse.

Degas a toujours séjourné à Naples depuis 1854, sa ville par son père et son grand-père, où il a à plusieurs reprises représenté les membres de sa famille. J’ai suivi Degas depuis son arrivée au port de Naples, parcourant son chemin jusqu’à la maison de son grand-père Hilaire, dans le palais Pignatelli di Monteleone. Dans ce palais réside encore aujourd’hui le dernier descendant de la famille Degas. Avec cette personne, un professionnel très compétent dans son domaine, j’ai eu de nombreuses conversations où nous avons parlé de son illustre parent, de la cousine du peintre, Lucia Degas, arrière-grand-mère du Dr Mario Bozzi (le nom du petit-fils de Degas) et de grand-père Hilaire qui aimait beaucoup le jeune peintre. Les autres parents du peintre vivaient à Pomigliano d’Arco, la tante Stefanina, les cousines et d’autres encore. En somme, les Degas à Naples formaient une grande tribu. J’ai voulu enquêter – car il s’agit bien d’une enquête – sur quatre années de la vie du jeune Degas à Naples, lorsqu’il n’était pas encore Degas. Le parcours de sa formation juvénile – à la base de cette recherche se trouvent les mots de Paul Valéry, ami du peintre, qui déclare : – “Si je faisais de la critique d’art, je pense que j’oserais une hypothèse à racine triple. J’essaierais d’expliquer cette manière mimique de voir de Degas par la coexistence de trois conditions. Il y a tout d’abord ce sang napolitain dont j’ai parlé. La mimique vient de Naples, où il n’existe pas de mot sans geste, de récit sans une multitude de personnages, toujours possibles et toujours prêts. J’observerais en outre que le problème de Degas… ». Ses premiers biographes et critiques français, parmi lesquels Lemoisne, Coquiot, Lafond, etc., tout en notant sa présence à Naples durant sa jeunesse, période où les sensations se forment et se fixent de manière indélébile, considèrent cet aspect comme purement incidentel, pas du tout important pour sa formation. Seul Blanche écrit : – « Ce parisien élevé à Naples voit l’homme et la vie contemporaine avec l’œil d’un moderne et d’un italien du XVème siècle ». Cela me trouve totalement d’accord. Degas s’est toujours exprimé en napolitain, laissant ses compatriotes parisiens stupéfaits. La racine de son art est différente, plus éloignée du terreau culturel parisien. Voici ce que pense Paul Lafond, après avoir précisé que « en 1856, l’artiste était en Italie », il ajoute : – « Il venait d’atteindre ses vingt-trois ans et nous savons qu’il avait une partie de sa famille à Naples. » Mais il avertit rapidement : « Il connaissait déjà son métier de peintre. » Des biographes minutieux et précis comme Lafond repoussent la reconnaissance d’une influence italienne dans la formation de Degas, la considérant comme un danger à éviter.

Influences des artistes napolitains dans la formation d'Edgar Degas.

Les influences dans la formation de Degas sont retrouvables dans la réforme palizzienne-morellienne du milieu du XIXe siècle. La réforme des arts à Naples intéresse Degas, sa pensée est réceptive et sensible à la nouveauté. Dans l’environnement artistique napolitain, il sait s’y adapter magnifiquement. Il s’intéresse à l’art de Filippo Palizzi. À ce sujet, Paolo Ricci écrit : – « Filippo a dû connaître à Naples Degas. Il est avéré que Degas a eu des contacts directs et fréquents avec la peinture napolitaine ; en 1854, il était à Naples, probablement depuis longtemps, s’il a pu entrer en contact avec le Royal Institute of Fine Arts et les cours de Mancinelli pour le dessin, de Camillo Guerra pour la peinture… de Gabriele Smargiassi pour le paysage. » Si l’on exclut le Somarè et le Biancale, personne ne semble avoir tenté d’approfondir le lien entre les artistes napolitains et Degas. On peut cependant affirmer que les relations entre Palizzi et Degas ont dû être très fréquentes, et les traces se retrouvent tant dans les œuvres du peintre français que dans celles du peintre abruzzese… Au fur et à mesure que j’avançais dans ma recherche, je réalisais que j’avais eu raison de fouiller parmi les sources immédiatement après la mort survenue en 1917 à Paris, où il était né en 1834. Serait-il trop réducteur de penser à un Degas de « détachement et d’imprégnation italienne, précisément napolitaine ? » affirme Biancale. Pour moi, ce serait réducteur de ne pas le penser du tout. Degas est souvent au musée bourbonien, où il effectue de nombreuses copies de l’antiquité. Il est présent à Herculanum, à Pompéi, où il étudie les mosaïques et les peintures. Il a une prédilection pour la Naples souterraine, visite les catacombes de S. Gennaro, en copie les fresques, véritables exemples de l’art paléochrétien. Les intérieurs des églises l’intéressent, il copie un Donatello dans la chapelle Brancacci de S. Angelo a Nilo et continue ainsi son parcours culturel… Les copies lui seront très utiles pour son accomplissement futur… Extrait du livre “Rosa Spinillo, Degas et Naples – les années juvéniles, Plectica, Salerno 2004.

FOCUS : Le palais Pignatelli de Monteleone

Le palais, qui est aujourd’hui un Monument National, a été érigé au XVIe siècle à la demande de la Duchesse Giroloma Colonna et occupait l’ensemble de l’îlot compris entre Calata Trinità Maggiore, la via Domenico Capitelli, la via Maddaloni et le vico Monteleone, se situant ici à la limite de la propriété du Marquis del Vasto avec une série de bâtiments plus petits. À l’origine, le bâtiment abritait également des peintures réalisées par Paolo De Matteis représentant certains épisodes de l’Énéide et de la Jérusalem Délivrée. En 1718, le duc Niccolò a commandé à l’architecte Ferdinando Sanfelice les travaux de rénovation de la partie centrale du palais. Sanfelice a notamment conçu ce qui reste de l’un des portails les plus intéressants et grandioses de l’époque baroque.

Les intérieurs : Après le premier vol de magnifiques, lumineuses et imposantes escaliers en piperno, un espace d’antisalle se présente au visiteur, avec un charmant escalier en marbre blanc, contenu entre de légères volutes et des cannelures, conçu pour inviter à la salle d’attente suivante. Ici se trouve un escalier en bois à deux volées elliptiques opposées, harmonieusement sinueux avec le palier à travers deux petits balcons en ronde bosse, entre lesquels se dresse un banc reposant sur un fond de panneaux en bois qui revêtent les murs latéraux. Du notaire G. De Vivo, nous apprenons qu’en 1723, il y avait plus d’un millier de grands et petits tableaux, tous d’auteurs célèbres : CARRACCI, GUERCINO, BRUEGEL, TINTORETTO, RUBENS, VACCARO, GIORDANO, SOLIMENA… IL NE POUVAIT MANQUER UN BEL CRÈCHE D’AUTEUR.

(G.MACCHIAVELLI- F.TIRONE I TESORI DI PIAZZA DEL GESU’ NUOVO pp. 17-18)

Le palais est situé en face de l’autre, également aristocratique, du prince Càssero, général Francesco Statella, également acquis en grande partie par d’autres, près de la grande piazza del Gesù Nuovo, où, à l’endroit où avait été érigé en 1703 un monument à Philippe V, démoli ensuite par les partisans de Charles VI en 1707, se dresse – et se trouve encore aujourd’hui – l’aiguille portant la statue de l’Immaculée. Dans la construction du majestueux portail, se succèdent, décorativement travaillés, le sombre piperno, pierre napolitaine caractéristique extraite de la lave solidifiée des éruptions du Vésuve, et des frises en marbre blanc : le cour est large, l’escalier principal spacieux et confortable, entièrement en piperno, les pièces sont vastes et lumineuses. Le palais a été mentionné par Giacomo Casanova dans ses « Mémoires » pour ses fastueux réceptions, ses déjeuners et dîners nocturnes à base de « maccheroni e frutti di mare », et en particulier pour les longues nuits passées, avec grande discrétion, dans l’une de ses nombreuses chambres au troisième étage, autour d’une table de jeu, avec le propriétaire, le duc Pignatelli di Monte Leone, le duc Carafa de Maddaloni, le prince Statella de Càssero et d’autres aristocrates napolitains.

À cette table, l’aventurier vénitien ne pouvait certes pas manquer, lui qui y a perdu et gagné, selon ses dires, des sommes considérables, et y a eu l’occasion de faire l’expérience, toujours selon ses dires, de l’amitié de ces seigneurs de manière trop intime. Casanova raconte que, lors de cette occasion, il eut l’honneur d’être présenté à la Cour et de baiser, comme il était d’usage, la main du roi Ferdinand IV, qui n’avait alors que neuf ans. Le palais à l’époque de Casanova – 1759 – avait été restauré environ quarante ans auparavant par le père du prince Pignatelli. Cela est indiqué par la fastueuse épigraphe sculptée au-dessus du magnifique portail, sur la frise en marbre qui l’orne :

Nicolaus Pignatellus – Dux Monteleonis – Primores inter Hispanae Magnates – Avita Aedes restituit ampliavit ornavit Anno salutis – MDCCXVIII. Ainsi se succèdent à Naples des familles d’Espagne et de France qui, alliées à celles d’origine napolitaine, s’y sont finalement installées, de sorte que Naples représente bien le siège, la synthèse, et presque le symbole d’une latinité très noble à toutes les époques. Il est intéressant de suivre l’évolution de la fortune de Degas père afin d’avoir une vision complète de sa montée économique progressive, due en vérité à sa sagesse, à sa prudence et à sa persévérance dans une activité quotidienne assidue. En effet, le palais a été acquis par lui par étapes : par jugement de la IVe Chambre du Tribunal civil de Naples du 22 septembre 1823, il a été déclaré adjudicataire, lors d’une vente publique, du grand appartement au deuxième étage comprenant pas moins de vingt-deux chambres, tandis que par la suite, dans la même année 1823 et ensuite en décembre 1828, il a fait céder presque toutes les autres parties par les autres, qui avaient également participé et qui étaient restés adjudicataires lors de cette première vente. Ce n’est cependant qu’en 1832, par acte du 1er juin, devant le notaire Casale de Naples, que le prince don Diego Pignatelli, duc de Monteleone, et ses autres parents, expropriés avec lui, purent recevoir, en raison des lenteurs procédurales de tous les temps, le solde du prix, au bénéfice évident de l’acquéreur Degas. Le Palais Pignatelli di Monteleone devint ainsi le palais du banquier Degas et il s’y installa avec sa femme et sa nombreuse progéniture en 1825, confiant les travaux de restauration et d’adaptation aux besoins de sa maison à un autre architecte célèbre de l’époque, Stefano Gasse, également d’origine française.

(a c Tratto da “Degas e la sua famiglia in Napoli” 1793 – 1917 di Riccardo Ramondi, SAV Napoli)

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FOCUS : Palais "du gaz"

Tout le monde ne sait pas que le grand peintre Edgard Degas avait des grands-parents paternels et un père napolitains. Qui étaient les Degas ? Une famille originaire de France, de la région du Languedoc (Langue d’Oc), portant à l’origine le nom de De Gas, De Gast, De Guast et, après la Révolution française, sous la forme actuelle de Degas, nobles et seigneurs avec le prédicat ‘De Bagnolis’ depuis le XIIIe siècle, à laquelle ils ajoutèrent le nom actuel au XVIe siècle, inscrite dans la noblesse et…

…et dans le ‘Catalogue des Gentilshommes’ de la province du Languedoc depuis le 8 novembre 1670, avec le blason enregistré dans l ‘ ‘Armorial Général’ de 1696 et dans le ‘Registre de la Généralité de Montpellier’ à la feuille 537, chevaliers du prestigieux ordre des Orleans, rois de France, d’où le porc-épic au centre de l’écu familial. Ils s’établirent dans la province d’Orléans à Meung…

Brigantino – Il Portale del Sud

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